Hello les blogos ! Tu sues réaliste la blogose !
A l’occasion du Dali de Quentin, qui n’est pas une contrepèterie, ni une contreroterie, voyons en ce jour la recette de l’aligot, spécialité cuculinaire originaire de l’Aubrac, à cheval sur mon dada sur l’Aveyron, le Cantal et la Lozère, trois départements où rire tient du miracle.
Pour six personnes anormalement constituées, disons pour trois personnes de constitution déterminée, prenez 500g. de pommes de terre à l’air farineux et pluchées, faites les cuire 20 à 25min. dans une casserole d’eau mais néanmoins solide. Egouttez et ne soyez pas sourd, puis réduisez-les en purée et assaisonnez avec du beurre, de la crème, de l’ail sans os, ou des aulx sans aïe, sel, poivre.
Prenez 300g. de tomme fraîche d’Auvergne, ce qui n’est pas une sinécure, et détaillez-la en très fines lamelles, ce qui correspond, d’un point de vue de la finesse, à l’encéphalogramme plat d’un Gérard Colomb mort, ou celui d’un Gabriel Attal vivant.
Sur feu doux, ajoutez le fromage à la purée. Pendant une bonne quinzaine de minutes, battez la masse, qui peut être considéré comme contrepèterie, avec une grande cuillère en bois, en formant des « huit », ou « Wuit » si vous êtes Belge, ce qui est attristant, et en la soulevant jusqu’à obtenir une pâte lisse qui se détache des parois de la casserole et qui file. Pas bien loin je vous rassure.
Voilà pour la recette de l’aligot, qui je le rappelle est originaire de l’Aubrac et non du Salvador où le plat traditionnel est le pupusa, tout aussi roboratif que l’aligot dont l’étymologie remonterait aux desideratas de moult partis de droite extrême, qui grimpent tout autant que les températures, et qui corrèle « Ali » à « Go », afin de signifier que la crise écologique est avant tout liée à la migration, selon ces mêmes partis.
Mais bon, comme le disait Salvador Dali : « Ma vie entière a été déterminée par deux idées antagonistes : le sommet et le fond. »
Et on le touche.